Né en 1995 à Dieppe, Etienne Quesnay grandit à la campagne en Normandie où son père lui transmet la passion du dessin. Autodidacte, il commence dès son plus jeune âge à peindre pour s'exprimer au gré de ses esquisses et ses coups de pinceaux.
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Depuis bientôt 10 ans, Etienne vit et crée à Paris.
C'est à son arrivée dans la capitale qu'il renoue plus sérieusement avec sa passion de toujours : la peinture.
Un tube après l'autre, - en parallèle d'un emploi dans l'industrie musicale qu'il finira par quitter -, il façonne son univers créatif.
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D'abord à l'aquarelle, puis à l'huile, ses deux techniques de prédilection.
Son âme d'artiste, il la pense et en dessine les contours autour d'un concept dissociatif : son moi figuratif, exprimé par des personnages féminins délicats qu'il utilise pour laisser transparaitre ses émotions à travers elles, et son moi abstrait, par lequel il dévoile sa « face », visage universel, apposé mécaniquement, comme une signature.
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C'est par ces biais qu'il trouve son équilibre. Révélé en 2019 via Instagram, porté par la galerie d'art en ligne Artsper et des médias nationaux comme MAD ou Konbini, il abandonne son métier pour se consacrer pleinement à sa passion.
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En 2022, il prend le temps d'évoluer et de façonner son art. Au début de l'année, il expose avec la fondation Moleskine au Palais de Tokyo et fait également partie de la Copelouzos Collection, qui détient des oeuvres d'artistes majeurs tels que Yayoi Kusama, Damien Hirst ou Roy Licheinstein.
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En Février 2023, Étienne a participé à l'exposition "Encounter" à la Mozuku Gallery curaté par Jean Claude Geraud.Il y a peu, Etienne Quesnay a intégré la fondation Imago Mundi de Luciano Benneton.